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15 juillet 2014 2 15 /07 /juillet /2014 15:51

Lettre ouverte juillet 2014 à Monsieur Arnaud MONTEBOURG.

Monsieur le Ministre,

Je vous rappelle, Monsieur le Ministre, que j'ai appris la vente de ma maison par M. Djamel lorsqu'il m'a menacé, en me disant qu'il me laissait quarante-huit heures pour quitter les lieux sinon il allait me trucider, et il m'a menacé plusieurs fois de mort en faisant le geste de me trancher la gorge. Il a commencé par enlever le portail de mon jardin en bande organisée, s'est accaparé ma buanderie par infraction, a défoncé gratuitement la porte de ma cave pour me la prendre, a fait aplatir le tuyau d'arrivée d'eau de la ville pour que n'aie plus d'eau. Il est inacceptable qu'en France, un particulier puisse enlever l'eau en écrasant les tuyaux et que les pouvoirs publics laissent faire et ceci bien que le sous-préfet, le Procureur Général et le commissaire soient au courant. Quant au secrétariat de la mairie, comme ce n'était pas une affaire d'argent avec le service des eaux, il n'a pu intervenir et m'a orienté vers le médiateur qui, lorsqu'il a vu qui était l'individu, est devenu pâle et a fermé son dossier, en m'envoyant vers l'assistante sociale qui m'a informé que dans mon cas, elle n'avait pas de pouvoir. J'ai écrit à la CAF et demandé de suspendre les allocations à Monsieur Djamel tant qu'il ne me remettrait pas l'eau, elle m'a répondu qu'elle n'en avait pas la compétence. Pour montrer le genre d'individu qu’est Monsieur Djamel , il a rencontré Monsieur Rémy Sarlanga dans la rue et l’a menacé de lui ouvrir le ventre s'il ne partait pas de chez moi, en lui disant qu'il avait derrière lui l'armée du Jihad Islamique, ce qui a fait l'objet d'une lettre que j'ai adressée à Monsieur le Procureur général, car à cette époque, il venait tous les jours cogner à ma porte en me disant qu'il me ferait tellement peur qu'il me ferait partir ou mourir d'une crise cardiaque. Ceci lui a valu une mise en garde à vue, ce qui l'a calmé un certain temps. Il y a en tout plus d'une douzaine de plaintes qui ont été enregistrées au commissariat de Marignane contre Djemel Ait Abbas, qui m'a dit qu'il arriverait à rentrer chez moi pour m'expulser. Il a tout fait pour ceci, jusqu'à mentir à la justice par l'intermédiaire de ses avocats, ce qui me vaut mon expulsion.

Aussi, j'ai été condamné par la 11e Chambre de la cour d'appel d'Aix-en-Provence chambre B à être expulsé pour non-paiement de loyer, alors que je suis à jour, et ceci malgré la lettre de mon assistante sociale qui propose de faire régler les loyers par l'aide de ma caisse de retraite au cas où j'en devrais (je vous joins les justificatifs). Ceci n'a pas empêché la partie adverse de dire à la cour que je n'ai jamais payé de loyer. Sans compter que j'ai été condamné à payer des frais de justice à M. Baldasare D'Antoni, alors que j'ai été victime d'un abus de faiblesse de sa part et qu’il m'a spolié du quart du prix de la vente de ma maison, que j'ai dû en plus lui céder à bas prix. De ce fait, il l'a vendue encore plus bas à M. Djamel et donc son droit de propriété est contestable pour non-respect des droits de préemption des locataires. Et il n'a pas effectué les diagnostics obligatoires, comme le prouve la lettre adressée à mon avocat que je vous renvoie et qui aurait dû être présentée à l'audience, si mon avocat m'avait écouté.

Un homme, pour le comprendre, en écoute difficilement un autre. Ceci explique entre autres que les institutions s'inversent dans leur application, pour ne pas tenir compte de la nature humaine. Elles reposent sur l'inconscient, parce que l'être humain est plus inconscient que conscient. Ceci m'a fait découvrir qu'il existe deux formes de pensées, une mentale et intérieure. La deuxième étant la plus forte, c'est la raison pour laquelle la quasi-totalité des êtres humains se comportent d'une manière inverse à ce qu'ils voudraient, et ceci sans s'en rendre compte. C'est en travaillant sur le livre Attraction, santé et richesse, dont vous avez reçu, Monsieur le Ministre, deux exemplaires à des dates différentes que je n'en suis surtout aperçu. Il en est de même sur l'instruction des sciences humaines, car au plus, l'on découvre l'inconscient au plus ceci s'aperçoit. Aussi, je me suis ressourcé en réactualisant le livre La Venue de l'ère du surmental et la transformation de l'Être, que vous avez aussi reçu.

Si je n'ai pas la compréhension du Procureur Général et du sous-préfet, je risque d'être expulsé, car le pouvoir en cassation n'est pas suspensif et tant que le juge de l'exécution ne s’est pas prononcé et ne m'accorde pas de délai, je peux être mis à la rue, bien que j’aie plus de soixante-dix ans. Aussi, Monsieur le Ministre, si ceci se produit, mes recherches seraient interrompues, et vous savez que je suis le seul Occidental qui, après Léonard de Vinci, aurait acquis par illumination le surmental. Mais, à son époque, il ne pouvait pas écrire sur les sciences humaines, et en le faisant, je me suis sacrifié, car les sciences humaines ne portent que le nom d'humaines.

Il serait souhaitable que la cour d'appel civile puisse entendre les justiciables et leur accorde un délai pour se justifier, sinon ceci ouvre la porte à toutes sortes d'abus, et c’est tragique pour ceux qui sont condamnés sur des faux et faux en écriture. Aussi, la présidente n'a pas tenu compte de la copie de la lettre que je lui ai adressée après l'audience, qui était destinée à mon avocat. Aussi, il serait souhaitable que si le pouvoir en cassation n'est pas suspensif en droit civil, la saisine du juge de l'exécution le soit, car la majorité des humains possèdent une caractéristique qui leur fait prendre conscience de leur erreur après, et qui se justifie dans tous les domaines et qui est une des principales causes des erreurs judiciaires.

Le sous-préfet étant le seul qui peut envoyer la force publique pour que je sois expulsé, tant qu'il ne l'accorde pas, je demande la protection de Monsieur le Procureur général et du commissaire de la police de Marignane.

Monsieur Rémy Sarlanga est hébergé chez moi, et pour ne pas me trouver seul contre Djamel, bénéficie d'un arrêt de la cour d'appel d'Aix-en-Provence pour rester dans les lieux. De ce fait, l'arrêt de la cour d'appel pour mon expulsion va contre cet arrêt...

Mon livre La Venue de l'ère du surmental et la transformation de l'Être aurait dû commencer à être édité à quinze mille exemplaires fin 2012 par 7écrit Éditions Paris. Si cela n'a pas été le cas, c'est que je n'ai pas pu verser les 2 000 € demandés bien que j'offre le triple de la somme sur mes premiers droits d'auteur, ce qui aurait permis de racheter ma maison. Mais, je n'aurais pas pu élever mon mental si haut pour reprendre aussi profondément ce livre, car le mental s'élève par réaction en faisant face surtout aux difficultés non cherchées, c'est là la difficulté de l'élever. Malgré ce ressenti, qui est inacceptable pour soi, je risque de me retrouver à la rue à cause d'un arrêt de la cour d'appel rendu sur des faux, et si je ne bénéficie pas d'un délai de grâce pour me reloger.

Je vous prie de bien vouloir agréer, Monsieur le Ministre, ma plus profonde considération.

Jean-claude Marie

www.evolution-mental.com

e de cette lettre ouverte adressée à Monsieur le Président de la République, Madame la Ministre de la Justice, Monsieur le Procureur Général, Monsieur le Sous-Prefet et Monsieur le Commissaire de la Police de Marignane.


PJ : 12 pages

Lettre de l'assistance sociale du 22/04/1014 qui propose de faire régler mes loyers ( si dette il y a).


Réponse datée du 20 mai à mon assistance sociale par l'expert-comptable de Monsieur de Monsieur Ait Abbas et justificatifs prouvant que je suis à jour de mes loyers en ce qui me concerne. Le reste devant lui être payé par la CAF.

Relevé de la CAF prouvant bien que Monsieur Ait Abbas l'a reçue en 2012 et 2013, S'il ne l'a pas reçue en 2014, c'est qu'il n'a pas voulu la recevoir pour dire que je ne paie pas les loyers.

Lettre du 24 avril 2014 adressée à mon avocat prouvant que Monsieur D'Antoni me doit de l'argent et que ceci est, et non l'inverse.

2 photos montrant le tuyau d'arrivage d'eau de la ville, aplati.

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